mardi 27 janvier 2009

Origin Of Beauty.

Câline et suave, tes lèvres se pressent
Contre mon sein fadasse, enjoué de caresses
Les éléments ruinent le temps des cerisiers
En fleur et contre tous, ils ont pris le pilier.

L'éternelle rechute des cuites du lendemain
Retenti dans mon ventre, dans le creux de tes mains
Mais apposées comme ça, elles ne cessent d'éprendre
Mon petit coeur de verre qui frémit dans la cendre.

La sueur moite du lit vous étreint lentement
Vous mes muses, mes chéries, qui respirez l'encens
Des brûlantes osmoses de la brutalité

De l'éclatement des âmes contre un mur de blé
Du reflux des vagues à l'arbre des temps
Et de la sensualité de vos regards d'enfants.

Sonnet en « que »

Quiconque crache sur ton cul
Se crispe de crasse
Cache bien tes cocus
Et caresse tes casses.

Quoi ? Qu’est qu’il dit l’aut’ ?
Que je koâle dans les bras de sa femme ?
Oups, j’accuse mon manque de queue, de came
Coucou, qui corpule tant ? Pas ma faute.

Ton corps cuit sous les cruches
De Dionysos, qui cuve sa cuite
Que nenni, fanfreluche !

Et jouons du kazoo
Au cas ou…
Quoi ? Elle est cuite ?

Voui ?

Et si j’essayais de jouer sur les sons ?
Et si je frappais tes tripes en rythmes ?
Frappant tes petits doigts, ton petit front,
Pour trouver a quoi ça rime ?

Et si tu me mordais les orteils pour réveiller mon pouls ?
- Et puis quoi pas encore ?
- Bon, j’admets bien que je suis saoul,
Mais accorde moi au moins ton corps…

La beauté crânienne me fais rire
J’extasie tes cris fourbes
Croquaïne tes sourires

Nous roulons dans la tourbe
Et je conclurais en « ix »
Au revoir, mon beau phénix

Flamme d’oripale.

Torpille des profondeurs,
Que fais-tu dans mon crâne ?
Qui t’as permis de t’insérer ? Une fleur ?
Mon Dieux qui n’existe pas, chassez cet âne

Mes tourments me nourrissent
Et leurs effets pourrissent
Des pneus crissent
…Fils.
.
Je ne laisserait pas faire les violences de la nuit
Ni les démons qui frappent à minuit
Ou encore ces ondines frappantes

Qui cherchent les cœurs en tourmente.
Finis, les ombres d’octaline,
Je gère mieux que ça ma ruine.

Conte des noms heureux.

Whisky, je veux du whisky !

D’ou viennent les vapeurs du crime ?

Je n’ai rien pris, sauf des vies

Et quelques baisers sur les cimes.


D’ou me sortent des trous de nez

Ces petits démons en ruts ?

Ceux-là même qui jamais

Ne sont allé chez les putes.

Frustrés et agglutinés,

Ils se collent à tes bas serrés

Cherchent du réconfort dans la flore des jeunes filles.

Mais moi, mon cerveau grille

Et je m’irrite de voir tous ces fers

Aux pieds des gens qui ne savent que faire.

Je Vous Souhaite...

... Rien du tout, mais nouveaux textes en 2009.