La bien nommée présence d'un beau paysage
Et la transcendance d'une fleur de nuages
Qui virevolte au loin, dans les brumes profondes
Des créatures des bois, des créatures d'onde
Un son de basse près d'une oreille bourrée
Un son de crasse, O.K., mais d'une intensité
A faire pleurer les ombres, à faire se sentir
A l'aise dans le vent, et l'ombre d'un menhir
Et la peau des regrets se retrousse devant
L'herbe de la forêt, et le soleil levant
Sur la mer et les mouettes qui piaillent encore
En croyant que dans tes frites il y a trésor
Sur la digue des âmes en peine d'un repos
C'est là qu'il faut bien être, partir en est de trop.
samedi 17 juillet 2010
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