Religions du livre, des Torahs Bibliographiques du refuge paternel qu'Orang Outangs emportent dans le vent.
Prêts à sacrifier les coeurs du stupre dans une vie édulcorée de pourpre royal, pourpre du sang des enfants sacrifiés par les vandales immondes.
La fleur doit être congelée pour être mieux dominée par les seins, patrons des fascinations avides d'exporter leurs doctrines dans le corps socialisé des individus exploités par la graisse divine, qui englouti dans son assiette les petits pour ne laisser aux grands que les miettes de leur moelle, sucée par les clefs statiques des écclésiatiques en soutane, qui tannent les orphelins pour extorquer leur sueur, leurs larmes et la boue jolie de leurs yeux.
Ces yeux, ces yeux profonds comme l'ambre, envolée lyrique des fonds de la fierté, qui toujours se déploie, mais jamais ne se soumet face à l'impérialisme cathodique, méthodique, apathique.
Ces yeux qui soumettent les attaques cognitives, qui refusent de ployer sous le poid des contraintes psychiques.
Ces yeux qui font frémir les dictateurs, qui font rougir les jolis coeurs, qui entraînent dans leur puissance brisée les peuples affamés de liberté.
Ces yeux libres et égaux, ces yeux en porte-à- faux de la rage destructrice des institutions, qui croquent la vie comme on arrache un bout de viande au fauve rugissant qui se repaît seul.
Le regard dur et froid du cadavre attaché à l'existence, refusant la mort comme on refuse les avances que la Camargue sexy propose, dans son indécence.
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