Arrogant femme, petite comme une oie
Un bout de sein dépasse, et encore on y croit
A l'extase de ton cœur si fragile à prendre
Aux caresses de ta bouche au goût des amandes
Les feuilles mortes suivent les bords de ta jupe
Et les clochards aux yeux vitreux de tous leurs stups
Bavent devant tes fesses et perdent la raison
Ils dansent sur ta route, ils entonnent ton nom
Quand à lui que tu aimes, il ne t'attendra pas
Il s'est shooté de toi un grand nombre de fois
Maintenant il erre, tout défoncé qu'il est
Dans les rues de Paris, de Toulouz', je ne sais
Sans cesse à ta recherche et sans cesse à te fuir
Il recommencera sans arrêt ses délires.
mercredi 14 avril 2010
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