A l’ombre des cyprès, si près de son visage,
Lancinante musique aux arcades célestes
Ignorant le demain, loin des amères cages,
C’est inconscient que l’on se perd dans les ivresses
Et qu’horrifiés de joie, on pense à s’enlacer.
lundi 10 mars 2008
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire